Histoire de Ain Beida

La ville d'Aïn Beïda est située à 110 Km au sud-est de Constantine sur les hauts plateaux des Sebkhas (1000 m d'altitude). Aïn-Beida signifie en arabe, la source blanche, en raison d'une source abondante qui y jaillit, donnant par minute plus de 400 litres d' eau d'une excellente qualité.

En 1947 a eu lieu la bataille de loued de Meskiana, ayant opposée l'armée française a la tribu des Haraktas. Après avoir battu les Haraktas au niveau de loued de Meskiana (troupes françaises 65000 soldats contre 25000 Haraktas), la France a établi une garnison connue sous le nom ''Borj El Comandant'' (1848) pour surveiller cette tribu.

Il est a préciser que les Harktas avaient un état qui s'étendait de la limite de Ain Fakroun '' Chouf Eddaba'' a Hammamat '' Haloufa'' et de '' Chabkat Essalawa'' vers la montagne de '' Tafrent'' pres de Khenchela. Cet etat a ete reconnue par le Tsar '' Nicolas'' de '' Russie''.


Très vite, a été construite une écurie connue sous le nom de '' Courie Saoudi'' pour la soldatesque française au village nègre. Ensuite se fut le tour de la construction d'une eglise puis de la Merie avec un bon nombre de maisons.

Tribu des Haraktas

Harkat avait 4 enfants: Amara, Said, Khanfar et Sïouan. De ces 4 enfants sont nées 4 fractions qui portèrent leurs noms. La tribu des Haraktas comportait avant la bataille de loued de Meskiana plus de 15000 brave cavaliers ainsi que plus de 20000 fantassins. La tribu des Haraktas a été reconnue comme état autonome par le bey de Constantine suite a une bataille qui a durée plus d'un mois au niveau de la montagne de '' Sidi Rguiss'' vers l'année 1805. Avec la victoire française, à partir de 1854, les meilleures terres ont été nationalisées par l'armée française et distribuées aux colons ainsi qu'aux nommés '' Les Benbouzid''. Ces meilleurs terres sont situées a '' Ain Bebouche'', ''Berriche'', ''Mtousa'', ''Meskiana'' et '' Dhalaa''. Les Haraktas pratiquaient la culture céréalière, l'élevage des bovins, les ovins, des chèvres. Également il plantaient des arbres fruitiers et pratiquaient la culture maraichère. Les chameaux se trouvent au niveau du Sahara et ne peuvent pas vivre au niveau des hauts plateaux.
La nationalisation des terres a contraint les Haraktas a quitter leurs lieux d'habitation pour s'implanter a travers les villes et villages de Ain Beida, Meskiana, Camp Robert, Ain Bebouche, Berriche et autres grandes villes.

Au milieu de notre siècle, Aïn Beïda est un gros bourg de 7 650 habitants dont 22 % d'européens, qui compte une importante communauté de fonctionnaires.
Elle constitue une étape importante sur la route des caravanes des tribus Soufi transhumantes qui mènent paître leurs troupeaux de chameaux dans les plaines du nord au printemps, et, à l'automne,
rejoignent leurs palmeraies d'origine au sud vers Biskra.

En 1942-43, après le débarquement allié sur les côtes marocaines et algériennes et .l'ouverture du front tunisien sur les arrières des armées germano-italiennes, Aïn Beïda était un des points de passage des convois de matériels et de troupes alliées auxquelles se joignirent rapidement les premiers éléments des forces françaises de l'Armée d'Afrique Aïn Beïda est aussi la ville de garnison du 16 ème régiment de Dragons de 1955 à 1962.

Importante région productrice de céréales. Aïn Beïda était un pays de culture céréalière extensive. Culture déjà très mécanisée à cette époque, mais de rendement très modeste surtout si les pluies avaient été rares, la ville est surtout réputée pour son marché à bestiaux, le lundi, 2 ème marché animalier du département de Constantine.

Malgré les rigueurs de son climat,Aïn Beïda jouissait néanmoins d'un préjugé climatique très favorable. L'air, disait-on, y était pur. Il y faisait bon vivre. Aïn Beïda était agencé autour d'une place centrale autour de laquelle étaient disposés l'église, le presbytère, la poste, la mairie, le marché couvert et la salle des fêtes, faisant fonction de cinéma le samedi et le dimanche.

Un peu excentrés, le Cours et le Square Willigens où l'on pouvait trouver des vestiges de l'époque romaine, bordés d'un côté par le commissariat et le Grand Hôtel d'Orient ou Hôtel Coppolani, de l'autre par la Librairie Namia, le Café Xicluna où officiait le regretté Charlot et devant lequel, à la fraîcheur, le vieux Boudjema dressait son étal de brochettes et de merguez ; un peu plus loin enfin, se trouvaient le Cercle et la Caserne. Après avoir quitté le village dans la direction de Tébessa et avoir
passé un bordj témoin de l'implantation du village de colonisation,
apparaissait le cimetière où quelques-uns des nôtres reposent encore,

(Texte de Alain Audibert rectifié )

:pp: ................................................... :sol:
amina82

c'est tres bien toutou mais vous pouvez aussi nous donner l'hitoire de la ville Ain Beida apres l'indépendance c'est- a- dire 1962 jusqu'a 2010. :ange:

:b2:
je vais essayer de collecter plus d'informations...
:bi: :c9:
djamel

Vous :fee: pouvez pas résumé l'historique !!!de mentionner vos sources!

A Djamel
Je suit harkati d'origine : ma famille c'est implante dans les lieux avant la cpnquette francaice et avant l'intalation des Benbouzid issus de Wlad Djlal wilaya de Biskra par la France a Ain Beida sghira apres la bataille de Meskiana. Les Benbouzid connus a travers les archives d'exe-en-provence.

Et saha ramdhankoum wa takabala el lah sayamakoum wo a3malakoum :bi:




bonjour a tt ceux qui ons participer,mais pouvez vous nous trouver lhistoire des ben bouzid et specialement de bech agha brahim et merci.

et LA MESKIANA elle a toute l'histoir de LA KAHINA jusquau LA PERIODE COLONIALE...
samir LABIDI de LA MESKIANA

Ain Beida était l'une des sous préfectures lors de l'aire français.
On ait sous l'injustice du régime algérien.
Ain Beida en 1868 était une commune de pleine exercices alors que Canrobert et Meskiana étaient des communes mixtes.
Voila que la développement local ne marche pas dans cette ville et dans les ville de Meskiana, Ain Fekroun, Ain Mlila alors que les projet ne sont pas distribuées en justesse (histoire et population)par la wilaya en raison du régionalisme étroit même si on connait que les origines ethnique sont les mêmes. Mais l'injustice ne dura pas longtemps.
http://www.cairn.info/revue-espace-geographique-2004-3-page-256.htm

http://fr.geneawiki.com/images/thumb/0/05/Carte_Michelin_Khenchela.jpg/350px-Carte_Michelin_Khenchela.jpg
vous pouvez voire ain beida en gras et grande taille. Et Khenchela en gris mais de meme taille. Et conrobert en gris et une petite taille.
Ou est la justice dans la division administrative?
Ain Beida un ville moyenne en Algerie redevenu isolee dans un contour de villages.

L HISTOIRE DE LA BATAILLE DE OUED MESKIANA ENTRE L ARMÉE FRANÇAISE ET LES HARACTAS CE N EST QUE FABULATIONS EFFECTIVEMENT IL Y A EU BATAILLE MAIS ENTRE L ARMEE MUSULMANE ET LES AMAZYGHS COMMANDES PAR EL6KAHINA ET LES TRIBUS HABITANTS MESKIANA CE SONT DES KHRARBA COMPOS2S DE PLUSIEURES FACTIONS D ORIGINEA ARABES HAMOUDI CHEBOUT
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